วันศุกร์ที่ 28 ธันวาคม พ.ศ. 2550

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen Âge).

วันเสาร์ที่ 22 ธันวาคม พ.ศ. 2550

La République de Venise

La République de Venise est un État progressivement constitué au Moyen-Âge autour de la cité de Venise, et qui s'est développé par l'annexion de territoires divers et de comptoirs commerciaux le long des côtes de la Mer Adriatique, en Méditerranée orientale et en Italie du nord jusqu'à devenir une des principales puissances économiques européennes. Venise joua un rôle prépondérant dans les échanges économiques entre l'Occident et l'Orient méditerranéen, qu'il fût byzantin ou musulman, ainsi qu'un rôle politique essentiel. À partir du XVI e siècle, la République de Venise connut une phase de déclin politique et de régression territoriale quelque peu occultée par une extraordinaire floraison artistique, avant de disparaître en 1797 sous les coups du général français Napoléon Bonaparte. Venise et ce qui restait de son domaine territorial passa sous la souveraineté de l'Autriche, avant son rattachement à l'Italie unifiée en 1866.

La politique de la Suisse

La politique de la Suisse est celle d'une république fédérale, composée de 26 cantons. Elle se caractérise par la démocratie directe, l’importance des droits civiques, politiques et fondamentaux ainsi que par la neutralité en politique extérieure. La politique interne respecte la séparation des pouvoirs, la recherche de consensus et les diversités régionales, jusqu'à assurer la représentation de ces dernières au sein du gouvernement.

วันพฤหัสบดีที่ 20 ธันวาคม พ.ศ. 2550

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen Âge).

Sommaire [masquer]
1 Chronologie
1.1 La Mésopotamie
1.2 L'Égypte antique
1.3 L'Antiquité en Europe
1.4 Chronologie générale de l'Antiquité
2 Civilisations antiques
3 Voir aussi
3.1 Notes
3.2 Autre acception
3.3 Liens internes
3.4 Liens externes

La République de Venise


La République de Venise est un État progressivement constitué au Moyen-Âge autour de la cité de Venise, et qui s'est développé par l'annexion de territoires divers et de comptoirs commerciaux le long des côtes de la Mer Adriatique, en Méditerranée orientale et en Italie du nord jusqu'à devenir une des principales puissances économiques européennes. Venise joua un rôle prépondérant dans les échanges économiques entre l'Occident et l'Orient méditerranéen, qu'il fût byzantin ou musulman, ainsi qu'un rôle politique essentiel. À partir du XVI e siècle, la République de Venise connut une phase de déclin politique et de régression territoriale quelque peu occultée par une extraordinaire floraison artistique, avant de disparaître en 1797 sous les coups du général français Napoléon Bonaparte. Venise et ce qui restait de son domaine territorial passa sous la souveraineté de l'Autriche, avant son rattachement à l'Italie unifiée en 1866.

วันอาทิตย์ที่ 16 ธันวาคม พ.ศ. 2550

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen-Âge).

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen-Âge).

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen-Âge).

L'Antiquité

L'Antiquité est en Histoire une notion de découpage temporel dans l'évolution des sociétés humaines, correspondant aux premières civilisations de l'écriture. Sa définition est fortement liée à la notion d'invention de l'écriture, c'est à ce titre la première période de l'Histoire, et ses bornes temporelles varient en fonction des groupes de civilisations étudiés, c'est-à-dire de l'ensemble géographique considéré. Selon ces groupes, l'Antiquité suit les périodes de Préhistoire ou Protohistoire, et précède le Moyen Âge ou l'Époque moderne.

En histoire européenne, l'Antiquité désigne la période des civilisations de l'écriture autour de la Méditerranée et au Moyen-Orient, après la Préhistoire, et avant le Moyen Âge. La majorité des historiens estiment que l'Antiquité y commence au IVe millénaire av. J.-C. (-3500, -3000) avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie et en Égypte, et voit sa fin durant les grandes migrations eurasiennes autour du Ve siècle (300 à 600). La date symbolique est relative à une civilisation ou une nation, la déposition du dernier empereur romain d'Occident en 476 est un repère conventionnel pour l'Europe occidentale, mais d'autres bornes peuvent être significatives de la fin du monde antique. Dans une approche européocentriste, l'Antiquité est souvent réduite à l'Antiquité greco-romaine dite antiquité classique.

Dans les amériques, l'antiquité est associée aux civilisations précolombiennes, si bien qu'elle commence vers 1200 avant J.C. avec l'invention du système d'écriture pictogrammes-idéogrammes par les olmèques[1], et s'achève au début du XVIe siècle avec l'arrivée des européens, donc suivie directement par l'Époque moderne (pas de Moyen-Âge).

La République

La République de Venise est un État progressivement constitué au Moyen-Âge autour de la cité de Venise, et qui s'est développé par l'annexion de territoires divers et de comptoirs commerciaux le long des côtes de la Mer Adriatique, en Méditerranée orientale et en Italie du nord jusqu'à devenir une des principales puissances économiques européennes. Venise joua un rôle prépondérant dans les échanges économiques entre l'Occident et l'Orient méditerranéen, qu'il fût byzantin ou musulman, ainsi qu'un rôle politique essentiel. À partir du XVI e siècle, la République de Venise connut une phase de déclin politique et de régression territoriale quelque peu occultée par une extraordinaire floraison artistique, avant de disparaître en 1797 sous les coups du général français Napoléon Bonaparte. Venise et ce qui restait de son domaine territorial passa sous la souveraineté de l'Autriche, avant son rattachement à l'Italie unifiée en 1866.

วันศุกร์ที่ 14 ธันวาคม พ.ศ. 2550

La Sicile

La Sicile (Sicilia en italien et sicilien) est une région autonome d'Italie et la plus grande île de la Méditerranée. Outre l'italien qui est la langue officielle, la plupart des habitants parlent aussi le sicilien, langue d'origine latine avec des influences arabe, germanique, espagnole, française et italienne. À l'intérieur même du dialecte Sicilien, on trouve d'autres dialectes, différents suivant les endroits de la Sicile. Sa capitale est la ville de Palerme.

Mer Adriatique

Du latin Mare Hadriaticum (ou Mare Adriaticum), la mer Adriatique doit son nom à la ville d'Adria (ou Hadria ou Atria), fondée au VIe siècle av. J.-C., par les Étrusques, située jadis sur ses bords. Ce nom ne s'entendait primitivement que d'un petit golfe situé devant cette ville, et aujourd'hui comblé par les atterrissements du Pô. Surface : 160 000 km².

La mer Adriatique est une partie de la mer Méditerranée, sorte de golfe très allongé fermé vers le nord. Fernand Braudel la désigne comme l'une des « plaines liquides » qui forment la Méditerranée. Elle est encadrée au nord et à l'ouest par l'Italie et à l'est par la péninsule balkanique. On fixe traditionnellement son extrémité Sud au niveau du "canal d'Otrante", l'endroit où les rives des Pouilles et de l'Albanie sont les plus proches. L'île de Corfou, qui a joué le rôle de poste avancé de Venise jusqu'à la disparition de la Sérénissime après le traité de Campo-Formio, est généralement considéré comme la clé stratégique de cette mer.

Dès le début de la colonisation grecque, elle joue à la fois un rôle de barrière et de passerelle entre les différentes civilisations : entre Empire romain d'occident et d'orient d'abord; entre le monde germanique et Byzance ensuite; entre l'Empire ottoman et le monde chrétien un peu plus tard; entre l'Europe capitaliste et communiste enfin. Aujourd'hui encore, elle voit « s'opposer », sur ses deux rives, l'ex-Yougoslavie et l'Union européenne, alors que des démarches sont entamées des deux côtés pour une intégration des pays balkaniques. Elle reste aussi un carrefour religieux entre mondes orthodoxe, catholique et musulman.

Les états limitrophes, sont l'Italie, la Slovénie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro et l'Albanie.

Plusieurs ports importants y sont situés, et notamment Venise (Mestre) et Trieste qui fut longtemps le débouché de l'empire austro-hongrois vers la mer Méditerranée et qui permettait notamment d'acheminer les marchandises méditerranénnes ou coloniales en direction du Sud de l'Allemagne. Il ne faut pas non plus oublier Ancône, la ville des États pontificaux, qui reprend sa place de grand port en 1734 avec l'édit de franchise après près de de longs siècles passés dans l'ombre de la République de Saint-Marc, et la République de Raguse, la petite enclave chrétienne vassale de l'Empire ottoman.

Pendant longtemps, elle a été dominée par Venise, à tel point que de nombreux contemporains appelaient cette mer « le golfe de Venise ». Au XVIIIe siècle, après la paix de Passarowitz en 1718, cet espace est complètement bouleversé politiquement. L'affirmation progressive des ports impériaux (Fiume, Trieste, Porto-Ré…), la concurrence acharnée du port franc d'Ancône et la renaissance de Raguse remettent en question l'hégémonie vénitienne.

Le négoce du port de Marseille s'y développe tout au long de la moitié du XVIIIe siècle. L'historiographie s'intéresse tout récemment à cette mer encore assez méconnue des historiens en dépit de nombreuses études sur Venise.

L’Union européenne


L’Union européenne est née le 7 février 1992, lors de la signature du traité sur l'Union européenne à Maastricht par les douze États membres de la Communauté économique européenne (CEE). C'est une union intergouvernementale et supranationale composée de 27 États dont la Bulgarie et la Roumanie qui l'ont rejointe le 1er janvier 2007.

L'UE est la première puissance économique et commerciale de la planète avec environ 29,89% du PIB mondial (Banque mondiale, Total GDP, 2006).

C'est une construction d'un nouveau type, sans précédent historique, entre des États différents mais appartenant au même continent, l'Europe (quoique les limites de l'Europe sont définies par des critères culturels autant que géographiques, en particulier dans le cas de Chypre, qui géographiquement appartient plutôt à l'Asie). L'Union européenne est une entité juridique indépendante des États qui la composent et dispose de compétences propres (politique agricole commune, pêche, politique commerciale, etc.), ainsi que des compétences qu'elle partage avec ses États membres. Elle est reconnue comme étant une organisation internationale (au même titre que l'ALENA, le MERCOSUR, l'ASEAN, etc) mais avec un rôle politique propre plus important que pour les autres organisations internationales, ainsi qu'un pouvoir de contrainte sur ses membres plus important. Sur le plan économique, elle dispose d'une union douanière, ainsi que pour treize de ses États membres, d'une monnaie unique, l'euro. L'Union est donc une structure supranationale hybride empreinte à la fois de fédéralisme et d'intergouvernementalisme.

Le Frioul-Vénétie julienne

Le Frioul-Vénétie julienne (en italien Friuli Venezia Giulia) est une région autonome d'Italie septentrionale, peuplée de 1,2 million d'habitants. Elle a comme capitale Trieste. Il est composé de deux régions distinctes : le Frioul, avec comme capitale Udine, et la Vénétie julienne, avec comme capitale Trieste, la frontière étant représentée par le fleuve Isonzo.

La Sardaigne


La Sardaigne (en italien : Sardegna et en langue sarde normalisée : Sardinna) est une île de la Méditerranée occidentale, située à l'ouest de la péninsule italienne et au sud de la Corse. Rattachée à l'Italie après un long isolement, culturellement différente de la péninsule, et avec de fortes particularités, elle a obtenu le statut de région autonome d'Italie le 28 février 1948. L'île connaît actuellement des difficultés à se développer économiquement, surtout en comparaison avec l'Italie du nord. Sa capitale est la ville de Cagliari.

Le ladin

Le ladin (ladino en italien, ladin en ladin) est une langue romane du groupe rhéto-roman (donc proche du romanche et du frioulan) ; elle est parlée en tant que langue maternelle par environ 30 000 locuteurs dans le nord-est de l'Italie (région des Dolomites, pour l'essentiel dans le Frioul, le Trentin-Haut-Adige et en Vénétie). C'est donc une des langues les plus rares d'Europe, à côté du féringien et du lapon.

Les Ladins appartiennent aux minorités linguistiques reconnues par l'Union européenne et devraient donc jouir des dispositions de protection des minorités linguisitiques, notamment celles prévues par la charte de 1991, particulièrement en ce qui concerne son emploi dans les écoles, les administrations, la justice, les médias. Pour ce qui concerne le ladin, toutefois, ces dispositions restent très formelles et ne sont guère traitées sérieusement par l'État italien.

Les régions d'Italie


Les régions d'Italie sont au nombre de vingt, des arrangements ont été aménagés dans la constitution de 1948 pour assurer une certaine autonomie aux régions. Toutefois, cinq régions (Frioul-Vénétie julienne, Sardaigne, Sicile, Trentin-Haut-Adige et Vallée d'Aoste) ont une autonomie élargie. Chaque région est munie d'un Conseil Régional qui exerce les pouvoirs législatifs propres à la région et une Junte régionale (Giunta Regionale) qui est l'organisme exécutif de la région. La Giunta est responsable devant le conseil et doit démissionner si elle n'obtient pas la confiance du conseil. Cette structure est donc analogue au système du gouvernement du pays.

La Région de la Vénétie

La Région de la Vénétie (en vénitien Rejon del Vèneto, en italien Regione del Veneto) est une région d'Italie du Nord-Est de environ 4,8 millions d'habitants, dont la capitale est Venise. Les langues parlées sont le vénitien, le ladin (dans la région de Cortina d’Ampezzo) et l’italien. Bien que seule la dernière soit officiellement reconnue, une loi pour la reconnaissance officielle du vénitien a été approvée au Conseil Régional. Parmi les régions italiennes, la Vénétie est, avec la Sardaigne, à voir ses habitants reconnus comme un peuple à part entière.

Elle est délimitée à l'est par la région du Frioul-Vénétie julienne, au nord par l'Autriche, au nord-ouest par le Trentin-Haut-Adige, à l'ouest par la Lombardie, au sud par l'Émilie-Romagne et à l'est par la mer Adriatique (Golfe de Venise).

วันอังคารที่ 6 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550

Le site

Le site actuel de la vallée du Saint-Laurent était formé, voilà près d'un milliard d'années, d'un plateau d'une élévation semblable à celui du Tibet actuel. Voilà environ 600 millions d'années, le supercontinent Pannotia se fragmente en quatre sous-continents, Laurentia, Baltica, Sibéria et Gondwana qui donne naissance dans la région à un immense océan appelé Iapetus. Au même moment se forment de nombreuses cassures et fossés le long de l'axe devant former le futur fleuve Saint-Laurent.

Environ 20 000 ans av. J.-C., une immense calotte glaciaire, l’Inlandsis laurentidien recouvre une bonne partie du nord du continent [1]. Près de 2 000 ans plus tard débute une période de réchauffement de la température créera la mer de Champlain, laquelle, lors de son retrait, laissera derrière elle le fleuve. Lors de la fin de la fonte de la glace, vers 6 500 ans av. J.-C., l'Inlandsis laurentidien aura complètement fondu, donnant naissance au réseau hydrographique du fleuve Saint-Laurent.

L'île d'Orléans




L'île d'Orléans est une île située en banlieue de la ville de Québec sur le fleuve Saint-Laurent. Longue de 32 km et large de 8 km, elle compte environ 10 000 habitants. Le pont de l'île d'Orléans qui la relie à Québec, fut inauguré le 6 juillet 1935. L'Île d'Orléans est considérée comme l'un des plus anciens lieux de peuplement de la Nouvelle-France. On trouve d'ailleurs sur l'île de nombreuses fermes ainsi qu'une importante concentration de maisons de pierres datant du régime français. Plus de 600 bâtiments sont reconnus par le gouvernement du Québec, comme ayant une grande valeur patrimoniale, dont la plus ancienne église de la Nouvelle-France.

Géographie


Grand fleuve des latitudes moyennes de l'Amérique du Nord, le Saint-Laurent possède un bassin de drainage de 1 610 000 km² (soit près de 25% des réserves mondiales en eau douce) comprenant les Grands Lacs, ainsi qu'une bonne portion du réseau hydrographique du continent, qu'il draine vers l'océan Atlantique par un parcours d'environ 4 000 km (1 140 km si on ne tient pas compte des Grands Lacs). Il fait partie des 25 plus long fleuves du monde.

Il prend sa source à l'embouchure du lac Ontario à Kingston. De là, il passe à Brockville et Cornwall, définissant la frontière entre l'État de New York et l'Ontario. Il traverse ensuite le Québec, passant à Montréal (où il reçoit la rivière des Outaouais), à Trois-Rivières où il reçoit la rivière St-Maurice, à Québec et à Tadoussac, ville située à l'embouchure du Saguenay. Enfin il se jette dans le golfe du Saint-Laurent, le plus grand estuaire du monde, pour rejoindre l'océan Atlantique.

Le fleuve comprend le lac Saint-Louis au sud de Montréal, le lac Saint-François à Salaberry-de-Valleyfield et le lac Saint-Pierre entre Sorel-Tracy (où débutent les marées) et Pointe-du-Lac. Il baigne les Mille-Îles, l'île de Montréal, l'île Jésus (Laval), l'île d'Orléans en face de Québec et l'île d'Anticosti au nord-est de la Gaspésie.

La rivière des Outaouais, le Saguenay et le Richelieu (drainant le lac Champlain) se jettent dans le Saint-Laurent.

L'île de Montréal


L'île de Montréal, dans le sud-ouest du Québec au Canada, se trouve au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. À l'origine, elle était dénommée "île du Mont Royal", puis dès le XVIIe siècle son nom actuel fut adopté, par double déformation du français vers l'anglais puis de l'anglais vers le français. En 1603, Samuel de Champlain vint visiter l'île en tant qu'adjoint de François Gravé, sieur du Pont. L'île de Montréal est une des îles de l'archipel d'Hochelaga.

L'île de Montréal compte en 2007 près de 2 000 000 d'habitants, dont environ les trois quarts (1 600 000 en fait) pour la seule ville de Montréal. Cette petite île regroupe presque le quart de la population totale du Québec et forme une des 17 Régions administratives du Québec : c'est à la fois une des deux Régions les plus petites du Québec (la plus petite en superficie étant celle de Laval) et surtout la plus peuplée.

57% des habitants de l'île de Montréal sont des francophones, 25% sont des allophones et 18% sont des anglophones, surtout concentrés dans l'ouest de l'île. C'est le plus faible taux de francophones parmi les 17 Régions québécoises. Le français est néanmoins la langue commune sur l'île, c'est-à-dire la plus utilisée par l'ensemble des habitants de toutes origines : 96% ont une bonne connaissance de la langue française, tous groupes linguistiques confondus. L'île de Montréal est au cœur des enjeux linguistiques et d'intégration au Québec.

Coïncidant


Coïncidant avec le centième anniversaire de la Confédération canadienne et le 325e anniversaire de la ville de Montréal, Expo 67 fut sans contredit un événement marquant de l'histoire de la ville. D'une durée de six mois, l'exposition a accueilli près de 50 millions de visiteurs. Près de 90 pavillons de toutes sortes (gouvernements, pavillons thématiques, etc.) ont été mis en place pour l'événement. Des travaux majeurs avaient suivi l'obtention de l'exposition : l'île Sainte-Hélène a doublé de superficie suite aux travaux d'agrandissement et une toute nouvelle île, l'île Notre-Dame, a été érigée près de la première.

Il subsiste un des trois circuits de monorail, soit celui dans le parc d'attraction La Ronde. Sont encore en service les anciens pavillons du Canada (maintenant le bureau administratif du Parc Jean-Drapeau), du Québec, de la France (maintenant le Casino de Montréal), de la Tunisie (maintenant un casse-croute) de la Jamaïque et des États-Unis. La structure du pavillon de la Corée également a été préservée et il subsiste aussi en partie les fondations de l'imposant pavillon thématique l'Homme à l'oeuvre.

La répartition


La répartition des pouvoirs ou champs de compétences respectifs du gouvernement fédéral et des provinces est prévue principalement aux articles 91, 92 et 93 de la Loi constitutionnelle de 1867. Les objets non prévus par la constitution relèvent du gouvernement fédéral; c'est ce qu'on désigne par l'expression pouvoir résiduaire.

Chaque province possède son parlement, son gouvernement (premier ministre, ministres), son lieutenant gouverneur, son budget, ses tribunaux, etc. Les champs de compétence appartenant aux provinces comprennent notamment la propriété et les droits civils, les programmes sociaux, la santé, l'éducation, l'administration de la justice, les institutions municipales, etc. Les provinces peuvent lever un impôt sur le revenu et percevoir des droits de licence. Certaines d'entre elles reçoivent des paiements de transfert et/ou de péréquation du gouvernement fédéral en vertu d'ententes administratives entre les deux ordres de gouvernement.

Le territoire est une entité administrative à laquelle le Parlement fédéral a accordé l'existence d'une assemblée législative, mais elle reste sous la souveraineté du Gouverneur général du Canada et sous la juridiction du gouvernement du Canada par l'entremise d'un commissaire nommé par la Chambre des communes. Les territoires sont toujours une création d'une loi du Parlement du Canada. Il existe un courant politique dans les territoires promouvant une transformation juridique du statut des territoires en province.

Les législatures provinciales et territoriales sont monocamérales, deux provinces autorisées (Québec et Nouvelle-Écosse) ayant aboli leur conseil législatif (chambre haute non élue) pour ne conserver que l'assemblée législative élue. Les législatures provinciales fonctionnent selon une procédure similaire à celle de la Chambre des communes canadienne[1]. Le chef du gouvernement de chaque province, appelé le premier ministre, est généralement le chef du parti qui possède le plus de sièges à l'assemblée législative. C'est aussi le cas au Yukon. Les législatures des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut n'ont pas de partis. Le représentant de la reine dans chaque province est le lieutenant-gouverneur; pour les territoires, l'équivalent est le commissaire, qui représente le gouvernement fédéral plutôt que la reine directement, mais exerce en général les fonctions symboliques d'un lieutenant-gouverneur.

Le Québec



Le Québec (API : /kebɛk/) est une province de la côte est du Canada, bordée à l'ouest par l'Ontario, la baie James et la baie d'Hudson, au nord par le détroit d'Hudson et la baie d'Ungava, à l'est par le Labrador et le golfe St-Laurent, au sud-est par le Nouveau-Brunswick et le Maine, et au sud par les états du New Hampshire, du Vermont et de New York. C'est la seule province canadienne où le français est l'unique langue officielle. En 2003 et 2006, l'Assemblée nationale du Québec ainsi que la Chambre des Communes du Canada ont respectivement reconnu, quoique sous une formulation et en des circonstances différentes, les Québécois comme formant une nation[3],[4],[5].

La population compte 7 700 807 habitants[2], dont 82 % sont de langue française, faisant du Québec le seul territoire où cette langue est majoritaire en Amérique du Nord (hormis l'archipel français de Saint-Pierre-et-Miquelon). L'anglais est, quant à elle, la langue de 7,9 % de la population (une minorité qui, malgré son déclin démographique, est de plus en plus bilingue, la quasi-totalité des jeunes anglophones de moins de 30 ans maîtrisant parfaitement le français). Pour ce qui est des allophones (c'est-à-dire les résidents dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais), ils comptent pour 10,1% des Québécois[6]. Aussi, ils sont de plus en plus nombreux.

Montréal



Montréal est la métropole du Québec[2]. Deuxième plus importante agglomération canadienne, Montréal constitue un centre majeur du commerce, de l'industrie, de la culture, de la finance et des affaires internationales. Montréal a accueilli l'exposition universelle de 1967, les Jeux Olympiques d'été de 1976 et les premiers Outgames mondiaux gays en 2006.

Considérée comme la quatrième agglomération francophone de langue officielle dans le monde[3], la ville de Montréal occupe le second rang des agglomérations internationales de langue française, si l'on considère la proportion de ses habitants qui ont le français comme langue maternelle. Elle représente aussi la deuxième agglomération canadienne en importance et la seule métropole francophone en Amérique du Nord.

L'île de Montréal est l'une des 17 régions administratives du Québec; sa population approche les 2 millions d'habitants, tandis qu'environ 3,7 millions de personnes habitent le Grand Montréal. Environ 67 % de la population est francophone (de culture et de langue française), environ 23 % sont néo-Canadiens et/ou néo-Québécois (de culture autre que française et anglaise), tandis que 10 % sont anglophones (de culture et de langue anglaise), faisant de Montréal une ville multiculturelle.

Le mausolée


Le mausolée de Lanuéjols (Lozère, France), le plus grand de France après celui de Glanum.

วันพฤหัสบดีที่ 18 ตุลาคม พ.ศ. 2550

L'aile de l'insecte


L'aile de l'insecte est une expansion tégumentaire. Elle n'est absolument pas homologue à l'aile des oiseaux. Les ailes des insectes sont des expansions de l'exosquelette de l'insecte qui lui permettent de voler.

Les ailes sont présentes dans la sous classe des ptérygotes (grec pteron = aile), absentes chez les aptérygotes. Elles se mettent en place lors de la dernière mue. Lorsque l'insecte sort de son exuvie, ses ailes sont toutes froissées et repliées sur elles-mêmes. C'est la pression de l'hémolymphe qui contribue à les rigidifier et à leur donner leur forme définitive.
La forme des ailes constitue une clé importante pour la détermination des ordres. Ceux-ci ont souvent comme nom un mot avec un suffixe "-ptère".

Les ailes sont insérées sur le deuxième et le troisième segment thoraciques (le mesothorax et le metathorax). Ce ne sont pas des "appendices" d'un point de vue technique, puisque les insectes n'ont qu'une seule paire d'appendices par segment : les pattes. Les ailes sont renforcées par un certain nombre de veines longitudinales, qui possédent souvent des inter-connexions qui forment des "cellules" fermées dans la membrane (les exemples extrèmes sont à trouver parmi les odonates et les névroptères). Le dessin résultant des fusions et inter-connexions des veines des ailes sont souvent un diagnostic pour la détermination des différentes lignées évolutives et peuvent être utilisées pour l'identification de la famille ou même du genre dans de nombreux ordres d'insectes.

Les ailes totalement fonctionnelles ne sont présentes que chez les adultes. La seule exeption est l'ordre des éphéméroptères chez qui l'avant dernier instar larvaire (subimago posséde des ailes bien développées et fonctionnelles, dont l'animal se sépare lors de la mue finale. Chez les Insectes qui ont un développement post-embryonnaire avec larves et nymphes (Diptères, Lépidoptères, Hyménoptères...) les ailes ne sont pas visibles chez la larve mais sont présents à l'état de "disque imaginal".

Les insectes ont généralement deux paires d'ailes, sauf chez les Diptères où l'aile du 3ème segment est remplacée par des balanciers ou chez les strepsiptères où c'est l'aile de 2ème segment qui est remplacée.
Les ailes peuvent être totalement absentes dans certains taxons des ptèrygotes, comme chez les puces ou les poux. Bien que leurs ancêtres aient été ailés, le mode de vie parasitaire (dans la fourrure des animaux) de ces insectes fait que la présence d'ailes constituerait une géne. Au cours de l'évolution, ils ont donc perdu l'organe, mais la constitution de leur thorax prouve qu'ils dérivent bien d'ancêtres ailés.

Les lépidoptères


Les lépidoptères (Lepidoptera) sont un ordre d’insectes dont la forme adulte (imago) est communément appelée papillon.

Ils se caractérisent à l’état adulte par trois paires de pattes (comme tous les insectes) et par deux paires d’ailes recouvertes d’écailles de couleur très variée selon les espèces. Les lépidoptères pondent des œufs qui donnent naissance à des larves appelées chenilles. Ces dernières fabriquent de la soie, et forment ensuite souvent un cocon, ou une chrysalide, où elles se transforment en adulte ou imago.

Chenille



Chenille est le nom donné au stade larvaire éruciforme de papillons. Certains hyménoptères dont les larves ressemblent beaucoup à celle des lépidoptères sont appelées fausse-chenille. La chenille, une fois arrivée à son plein développement, s'enveloppe dans un cocon afin de se transformer en chrysalide qui va à son tour devenir l'insecte adulte.

Remarque : Seules certaines espèces de chenille tissent autour d'elles un véritable cocon (la plus célèbre étant la chenille du Bombyx Mori, improprement appelée ver à soie, et quelques autres dont une espèce de Madagascar et le plus gros "papillon de nuit" d'Europe, appelé Grand Paon de nuit ou Saturnia Pyri…) pour se mettre à l'abri en vue de leur nymphose ( ou passage à l'état de nymphe : que l'on appelle chrysalide chez les papillons).

D'autres (le Machaon, par exemple) se contentent de se fixer à un support par une ceinture de soie, fil sécrété de la même manière, mais en faible quantité. D'autres encore s'enterrent dans l'humus à faible profondeur, dans une loge plus ou moins soyeuse : c'est le cas de la plupart des Sphinx

Des milliards d'insectes migrent


Des milliards d'insectes migrent chaque année, certains sur de petites distances, d'autres sur des distances intercontinentales, comparables à celles des migrations d'oiseaux.

On connait depuis l'antiquité la migration du criquet pélerin. Celle de certains papillons, dont le Monarque aux USA est étudiée depuis plusieurs siècles, mais l'étude des migrations d'insectes permise par les radioémetteurs (radio-tracking) et de nouveaux modes de marquage et de suivi est récente.

Elle est importante pour l'écologie du paysage et l'entomologie ou l'agriculture, car les insectes ont des fonctions écologiques importantes, et peuvent parfois être des ravageurs des cultures ou des arbres. La connaissance des migrations animales est aussi un enjeu de santé publique, car certains insectes, de plus en plus résistants aux insecticides classiques, peuvent véhiculer des microbes ou des parasites, eux-même éventuellement devenus résistants aux antibiotiques, ou susceptible de le devenir.

Les modifications de ces migrations peuvent être dues aux activités humaines, à la fragmentation de habitats et aux modifications climatiques liées à l'Effet de serre.

Le papillon monarque


Le papillon monarque (Danaus plexippus) se rencontre en Amérique, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Nouvelle-Guinée et dans les îles Canaries et se reconnaît à ses ailes oranges et noires. On peut le rencontrer exceptionnellement en Grande-Bretagne ou en Europe continentale.Ce papillon migre en groupe de millions d'individus sur plusieurs milliers de kilomètres, deux fois par an (d'août à octobre, il migre vers le sud pour remonter vers le Nord au printemps, un exploit à notre connaissance jamais réalisé par aucun autre insecte.

วันอังคารที่ 9 ตุลาคม พ.ศ. 2550

La Tour de Londres


La Tour de Londres est officiellement appelée « La forteresse et le palais de Sa Majesté, La tour de Londres » (en anglais Her Majesty's Royal Palace and Fortress The Tower of London) bien que le dernier monarque qui y ait habité fut le roi Jacques Ier. La « tour Blanche », bâtiment carré avec des tourelles sur chaque angle qui lui donna son nom, se trouve au centre d'un complexe de plusieurs bâtiments sur la Tamise à Londres, qui servaient de forteresse, d'arsenal, de trésorerie, d'hôtel des Monnaies, de palais, de refuge et de prison, surtout pour les prisonniers des plus hauts échelons de la société.

Ce dernier usage fut à l'origine de l'expression anglaise sent to the Tower (envoyé à la Tour) qui veut dire emprisonné, tout comme son synonyme français « embastiller ». Élisabeth Ire y fut emprisonnée quelque temps pendant le règne de sa sœur Marie. Le dernier prisonnier célèbre de la tour fut Rudolf Hess, durant la Seconde Guerre mondiale.

La Tamise


La Tamise (en anglais River Thames) est un fleuve traversant l'Angleterre méridionale et reliant Londres à la mer.

La Tamise a une longueur de 346 kilomètres. C'est le principal fleuve du Royaume-Uni, mais la Severn en est le plus long, avec 354 km.

Prenant naissance au pied des collines de Cotswold, à Thames Head, dans la paroisse de Coates, au sud de Cirencester, elle serpente vers la mer du Nord en suivant essentiellement un axe ouest-est. Elle traverse alors Oxford, Wallingford, Reading, Sonning, Henley-on-Thames, Marlow, Maidenhead, Eton, Windsor, Hampton, Kingston, Richmond upon Thames avant d'entrer dans Londres. Malgré sa largeur, de nombreux ponts la traversent dans la capitale : Chelsea, Vauxhall, Westminster, Waterloo, London Bridge, Tower Bridge ... Elle poursuit alors par Greenwich et le Dartford avant d'entrer dans la mer par un estuaire noyé.

La Tamise possède assez peu d'affluents notables. Le principal est le Kennet qui lui parvient rive gauche à Reading. Par la suite, elle reçoit à gauche la Colne et la Lea, à droite la Wey, la Mole et la Darent.

À environ 90 kilomètres de la mer, en amont de Londres, le fleuve commence à montrer des signes d'activité de marée. À Londres, l'eau est légèrement saumâtre à cause du sel de mer. Le fleuve, autorisant le passage de grands navires, a contribué à la tradition maritime de l'Angleterre. Un réseau de canaux le fait communiquer avec la Severn, le canal de Bristol et la Trent.

Le Tower Bridge


Le Tower Bridge est un pont basculant qui se situe sur la Tamise à Southwark, près de la tour de Londres dont il tire son nom. Au moment de sa construction, Tower Bridge était le plus grand et le plus sophistiqué des ponts basculants jamais construits. Ce pont est célèbre dans le monde entier grâce à son architecture très particulière : il est composé de deux grandes tours, d'une suspension rigide, d'un tablier s'ouvrant au passage des navires les plus hauts et d'une passerelle au sommet. Les machineries du pont ouvrant et la passerelle sont ouvertes au public pour des petites visites.

Hors d'Angleterre, il est parfois confondu avec le London Bridge (pont de Londres). Une anecdote raconte même qu'un milliardaire américain est tombé amoureux du Tower Bridge et qu'il en a commandé une copie sous le nom de London Bridge. Quelle ne fut pas sa surprise de voir arriver un pont en pierre tout ce qu'il y a de plus courant.

วันพฤหัสบดีที่ 4 ตุลาคม พ.ศ. 2550

Une poule


Une poule est la représentante adulte femelle de plusieurs espèces de Galliformes, en particulier la poule domestique. C'est la femelle du coq. Chez les autres espèces, on précise souvent le nom vernaculaire ou un élément permettant d'identifier l'espèce ou le genre, comme poule faisane, poule de bruyère. Pour d'autres espèces la distinction n'est pas précise, par exemple poule d'eau est un nom vernaculaire d'espèce, qui en désigne plusieurs.

Le nom d'une espèce de Perdicinae, la « poulette de roche » dérive directement de ce terme.

La dinde


La dinde est un oiseau de basse-cour élevé pour sa chair. En Mésoamérique, elle était un des seuls animaux élevés par les peuples indigènes pendant des milliers d'années. Découvert en Amérique centrale par les premiers envahisseurs espagnols, la dinde est importée en Europe au début du XVIIe siècle. À la grande joie des enfants, la dinde glougloute.

Un oiseau


Un oiseau (ou classe des Aves) est un animal tétrapode appartenant à l'embranchement des vertébrés. Si il existe près de 10 000 espèces d'oiseaux, très différentes tant par leur écologie que leurs comportements, chacune d'elles présente un même ensemble de caractéristiques évidentes permettant de les regrouper. Celles-ci sont notamment leur bec, leurs plumes, leurs ailes et leur oviparité.

Initialement, la langue française disposait, pour désigner les oiseaux, de noms génériques basés uniquement sur la morphologie comme rapace, vautour, échassier, canard, perroquet, hirondelle, oie, cygne, etc. ou sur leur usage tels volaille ou gibier ; certains de ces termes ne désignant pas les mêmes oiseaux d'une région à l'autre, comme «chouan». Puis avec l'apparition de la systématique, les ornithologues ont créé des noms davantage basés sur l'anatomie pour faire des regroupements adaptés à un classement taxinomique. Ceux-ci sont passés dans le langage courant, mais beaucoup se sont avérés polyphylétiques, par exemple palmipède. Au cours du XXe siècle, la classification a évolué en regroupant les différentes espèces selon des affinités plus subtiles. Une autre révolution dans la taxonomie s'est produite au cours des années 1990, avec l'apparition d'une classification basée sur la génétique, en l'occurrence des expériences d'hybridation d'ADN. Celle-ci est dans l'ensemble acceptée en Amérique tandis que les réticences sont plus importantes en Europe.

Les Galliformes



Les Galliformes (communément appelés « gallinacés ») sont un ordre d'oiseaux contenant entre autres les dindes, les poules, les pintades, les cailles et les faisans. Environ 281 espèces existent dans le monde.

Ces oiseaux varient en taille de petit à grand, mais sont généralement de constitution massive avec des becs épais adaptés principalement pour manger des graines ou picorer des racines de plantes. Les jeunes oiseaux attrapent aussi des insectes.

La plupart restent à longueur d'année dans la même région mais les plus petites espèces, comme la caille, migrent. Beaucoup d'espèces montrent des différences importantes entre les sexes, en taille ou en apparence.

L'ordre des Galliformes comprend 7 familles réparties en 2 sous-ordres :

Sous-ordre des Craci :
Mégapodiidés : talégalles, leipoa, mégapodes (19 espèces)
Cracidés : ortalides, pénélopes, oréophase, hoccos (50 espèces)
Sous-ordre des Phasiani :
Méléagrididés : dindons (2 espèces)
Tétraonidés : tétras, lagopèdes, gélinottes (18 espèces)
Odontophoridés : colins, tocros (32 espèces)
Phasianidés : perdrix, faisans, cailles, paons, etc. (155 espèces)
Numididés : pintades (6 espèces)

Les turnix (famille des Turnicidae) étaient traditionnellement placés parmi les Galliformes, mais désormais ils constituent une famille de l'ordre des Gruiformes. L'hoazin était autrefois inclus dans les Galliformes, mais des analyses d'ADN ont conduit à créer pour lui seul un nouvel ordre, celui des Opisthocomiformes.

Les Ansériformes (canards et leurs alliés) et les Galliformes sont des ancêtres des oiseaux néognathes et doivent suivre les ratites et tinamous dans la classification des oiseaux.

Le paon bleu


Le paon bleu (Pavo cristatus) est un oiseau galliforme de la famille des phasianidés.

C'est un oiseau originaire d'Asie (plus principalement d'Inde et du Sri Lanka). Il est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu'il peut déployer en roue. Il aurait été rapporté d'Asie vers la Grèce au IVe siècle avant notre ère par Alexandre le Grand et s'est vite répandu dans toute l'Europe tant sa beauté suscitait l'admiration.

On trouve des représentations de paons sur les fresques de Pompéi. Il était, pour les romains, tout à la fois, un oiseau de table et d'agrément.

วันเสาร์ที่ 22 กันยายน พ.ศ. 2550

Chrono Trigger

Chrono Trigger (クロノ・トリガー, Kurono・Torigā?) {{{diac}}} est un jeu vidéo de rôle, développé par Square Co., Ltd. (aujourd'hui Square Enix Co., Ltd.), sorti sur Super Famicom le 11 mars 1995 au Japon et le 22 août de la même année en Amérique du Nord. Le scénario du jeu suit un groupe de jeunes aventuriers transportés accidentellement dans le temps, qui, découvrant que le monde court à sa destruction, cherchent à découvrir les moyens de le sauver.

Au moment de sa sortie, certains aspects de Chrono Trigger sont vus comme révolutionnaires, notamment ses fins multiples, ses quêtes secondaires scénarisées et centrées sur la caractérisation des personnages, son système de combat unique, et ses graphismes détaillés[1]. Encore considéré par les fans comme un des meilleurs jeux de tous les temps[2], il ressort au Japon sur PlayStation en 1999. En 2001, il ressort en Amérique du Nord dans la compilation Final Fantasy Chronicles, qui comprend en outre Final Fantasy IV. Chrono Trigger n'a jamais été édité dans les pays utilisant la norme PAL, tels l'Europe ou l'Australie.

Le Parc national de Yellowstone


Le Parc national de Yellowstone (Yellowstone National Park) est situé aux États-Unis, à la frontière des trois États que sont l'Idaho, le Montana et le Wyoming. Créé en 1872, Yellowstone est le plus ancien parc national au monde[1]. Il s'étend sur 8 890 km² (889 000 hectares, soit plus que la région Alsace) et constitue le deuxième parc le plus grand des États-Unis, en dehors de l'Alaska. Le Yellowstone est célèbre pour ses phénomènes géothermiques ; il contient 2/3 des geysers de la planète, et de nombreuses sources chaudes[2]. Il abrite de nombreux grands mammifères : ours noirs, grizzlys, coyotes, loups, élans (orignaux), ainsi que des troupeaux sauvages de bisons et de wapitis. Le parc constitue le cœur d'un vaste habitat naturel préservé, un des derniers écosystèmes intacts des zones tempérées. Il est inscrit sur la liste des réserves de biosphère depuis 1976. Il reçoit chaque année la visite d'environ trois millions de personnes[3] ce qui en fait l'un des parcs américains les plus fréquentés.

Le Grand Prismatic Spring


Le Grand Prismatic Spring est un énorme bassin d'eau surchauffée à plus de 85°C se trouvant dans le Parc national de Yellowstone. Il s'agit de la plus grande source chaude connue à ce jour. C'est une des attractions touristiques les plus prisées, avec les Mammoth Hot Springs et le Old Faithful.

วันจันทร์ที่ 17 กันยายน พ.ศ. 2550

La feuille


La feuille est l'organe spécialisé dans la photosynthèse chez les végétaux supérieurs (spermaphytes, ptéridophytes et bryophytes). Elle est insérée sur les tiges des plantes au niveau des nœuds. À l'aisselle de la feuille se trouve un bourgeon axillaire.

Pour accomplir son rôle, une feuille est généralement formée d'une lame plate et fine, le limbe, qui lui permet d'exposer à la lumière un maximum de surface. C'est le parenchyme palissadique, un type particulier de tissus de la feuille, qui va effectuer la photosynthèse, grâce à ses cellules contenant les chloroplastes et donner à la feuille sa couleur verte. C'est aussi le siège de la respiration et de la transpiration. Les feuilles peuvent se spécialiser, notamment pour stocker des éléments nutritifs et de l'eau.

La feuille présente une grande variété de forme, de taille, de teinte, de texture ou encore d'ornementation dans le règne végétal. Ces particularités de la feuille sont souvent caractéristiques d'une végétale, ou au moins d'un genre.

La fleur



La fleur est constituée par l'ensemble des organes de la reproduction et des enveloppes qui les entourent chez les angiospermes (aussi appelées plantes à fleurs). Après la pollinisation, la fleur est fécondée et se transforme en fruit contenant les graines. Les fleurs sont très souvent attractives par les couleurs plus ou moins vives de leur corolle et sont souvent parfumées. Elles produisent souvent du nectar, butiné par de nombreux insectes, notamment les abeilles. L'éclosion des fleurs, ou floraison, est souvent très éphémère. Les fleurs sont parfois solitaires, mais souvent regroupées en inflorescences.

Très tôt, les fleurs ont attiré l'attention de l'homme qui les utilise et les cultive pour l'ornementation intérieure (fleurs coupées, bouquets, ikebana) et extérieure (jardins, plates-bandes...). La culture des fleurs est la floriculture. Les fleurs ont souvent inspiré les artistes, peintres, poètes...

L'orgue de Barbarie




L'orgue de Barbarie est un instrument de musique à vent mécanique classable dans les orgues.

Contrairement à ce qui est communément répandu son nom n'est pas une déformation d'« orgue de Barberi », mais vient plutôt du fait que les joueurs du XVIIe siècle et XVIIIe siècle « baragouinaient un français approximatif et qu'ils venaient "d'ailleurs" ». [1].

Une autre hypothèse est une provenance du Maghreb. En effet à cet époque là, le Maghreb était appelé la « barbarie » par les Européens.

Le musicien tourne une manivelle qui entraîne un long ruban rigide de cartes perforées, chaque trou dans les cartes correspondant à une note.

Les plus petites peuvent être portées en bandoulière, les plus grosses atteignent la taille de camions et sont de véritables chefs-d'œuvre d'horlogerie. Elles comportent généralement des objets animés, comme des automates représentant des musiciens, qui bougent au rythme de la musique.

Cet instrument ne doit pas être confondu avec la vielle à roue.

La serinette est le plus petit des orgues de barbarie, destiné à apprendre aux oiseaux (les serins venant principalement des « Isles de Canaries ») à siffler de courts airs à la mode.

La nef


La nef est la partie d'une église allant du portail à la croisée du transept et qui est comprise entre les deux murs latéraux (église à nef unique), entre deux rangées de piliers ou entre une rangée de piliers et un mur latéral. C'est le lieu principal où se tiennent les fidèles lors des célébrations et des offices. Le mot nef signifie au sens premier "navire". C'est la raison pour laquelle il a été utilisé pour désigner cette partie de l'église. En effet, la toiture de l'église, quand c'est une charpente visible, ressemble à la coque renversée d'un navire. De plus, le symbole du bateau pour désigner l'Eglise renvoie à l'enseignement de Jésus qui s'est souvent fait à partir d'une barque sur la mer de Galilée, où se trouvaient les tout premiers apôtres - symbole de l'Eglise naissante - qui y pêchaient.

Dans les églises d'Occident, la nef est le lieu de prière pendant la messe. Elle est parfois séparée du chœur par une barrière de pierre ou de bois appelée chancel, prône ou jubé. Le prêtre monte, par un escalier, sur cette séparation pour prêcher. En Orient, cette séparation est appelée "iconostase", car c'est le lieu où sont accrochées les icones.

Une nef transversale qui coupe à angle droit la nef principale d’une église est appelée transept.

On peut par assimilation aussi parler de nef pour les mosquées : elle accueille les fidèles pour la prière.

วันจันทร์ที่ 10 กันยายน พ.ศ. 2550

La Poche de Falaise


La Poche de Falaise ou Poche de Chambois - Mont-Ormel ou encore Poche de Falaise-Chambois, fut la dernière opération de la bataille de Normandie pendant la Seconde Guerre mondiale. Après le débarquement de Normandie du 6 juin 1944, la guerre s'enlise côté américain devant Saint-Lô dans la Bataille des haies, et dans la Bataille de Caen côté Anglo-Canadien ; la progression est difficile vers Falaise.

L'opération s'est déroulé du 12 au 21 août 1944 dans une zone située entre les quatre villes normandes de Trun, Argentan, Vimoutiers et Chambois pour s'achever près de Falaise.

La bataille de la poche de Falaise est une victoire stratégique pour les Alliés. Confinés en Normandie pendant deux mois, les Alliés projettent enfin leurs forces dans tout le nord de la France, et manquent de peu l'encerclement de deux armées allemandes avec leurs dizaines de divisions.

En cela la victoire est mitigée et a occasionné une controverse entre Américains et Britanniques qui perdure encore aujourd'hui.

Les totems


Les totems érigés autour de la case communautaire villageoise (wawadit’la) ornés de symboles héraldiques, construits par le chef nord-amérindien Mungo Martin en 1953 au Thunderbird Park de Victoria en Colombie-Britannique (Canada).

Lumière sur…


siècle le royaume Franc comme les autres royaumes barbares traverse une profonde crise économique, politique et culturelle. Le modèle économique issu de l'antiquité sur lequel ils sont fondés est remis en cause par l'expansion musulmane en Méditerranée. Cette crise entraîne la prise de contrôle de l'Europe par les Pippinides. Ceux-ci, autant pour justifier leur nouveau statut vis-à-vis des Mérovingiens puis de Byzance que pour unifier leur empire, tentent de restaurer institutionnellement et culturellement l'Empire romain avec le soutien de l'Église. Cette tentative appelée renovatio par les contemporains puis renaissance carolingienne plus tardivement, est surtout visible par des nouveautés artistiques et architecturales, mais elle entraîne aussi des mutations économiques et structurelles profondes qui seront la base de la renaissance de l'an mil. De fait l'Europe change profondément : elle quitte définitivement l'antiquité et entre dans l'âge féodal.

วันเสาร์ที่ 8 กันยายน พ.ศ. 2550

La grippe aviaire



La grippe aviaire, aussi connue sous le nom de peste aviaire, désigne une maladie virale proche de la grippe due à une variante du virus Influenza A, qui infecte les oiseaux sauvages ou domestiques. Cette affection est transmissible entre volatiles et plus rarement à des mammifères (dont le porc qui est à la fois réceptif aux virus grippaux aviaires et humains), mais elle est habituellement difficilement transmissible à l'Homme. Certaines espèces d'oiseaux, et en particulier certains canards sont souvent porteurs asymptomatiques.

Histoire des tunnels


Diverses installations fortifiées étaient équipées de tunnels plus ou moins secrets permettant à leurs occupants de s'enfuir ou de circuler sans être vus. De nombreux tunnels ont été consruits dans le cadre d'activités minières. C'est le développement du réseau ferroviaire au XIXe siècle qui a entraîné au 19ème siècle le percement de très nombreux tunnels pour éviter les rampes importantes (non seulement à cause de la faible adhérence des roues sur les rails, mais aussi du ratio puissance/poids médiocre des locomotives à vapeur). De nos jours, c'est plutôt la nécessité d'avoir le meilleur profil en plan (grands rayons de courbure) pour les rames à grande vitesse qui conduit à la construction de tunnels (le tronçon de LGV Florence-Bologne en construction comporte 73 km de tunnels sur 78 km de longueur totale, la première LGV française Paris-Lyon ne comporte aucun tunnel, mais au prix de rampes sensibles (3.5%). C'est aussi l'encombrement du sol et la difficulté de restructurer l'urbanisme existant dans les agglomérations urbaines qui pousse à l'utilisation du sous-sol, notamment avec les métros malgré le triplement du coût et une certaine claustrophobie des voyageurs.

L'amélioration des moyens techniques, et la pression politique pour faciliter les déplacements, permet d'envisager des ouvrages très ambitieux comme le tunnel sous la Manche, et plus généralement sous les détroits, ou les grands tunnels de base transalpins, en construction (Saint-Gothard) ou en projet (Lyon-Turin, Brenner). Les tunnels longs sont très souvent affectés au chemin de fer (et à ses dérivés comme le maglev) car le risque d'accident est moindre et les longs trajets souterrains seraient fastidieux pour les transports individuels ; en outre, cela évite l'émission de gaz polluants en milieu confiné et simplifie le problème de la ventilation.

Des types de tunnels très variés


Un tunnel peut être utilisé pour permettre le passage de personnes (piétons, cyclistes, trafic routier, trafic ferroviaire, canal).
D'autres tunnels avaient fonction d'aqueduc, construit uniquement pour transporter de l'eau - destinée à la consommation, à l'acheminement des eaux usées ou à l'alimentation de barrages hydroélectrique - alors que d'autres encore sont creusés pour acheminer des cables de télécommunication, de l'électricité, des hydrocarbures etc.
Quelques tunnels secrets ou stratégiques ont été également construit à des fins militaires, pour entrer dans des secteur interdits (Tunnel de Củ Chi au Viêt Nam ou tunnels reliant la bande de Gaza à Israël). Il existe depuis peu des écoduc, tunnels spécifiquement destinés à permettre à des espèces menacées de traverser des routes sans danger.

Le passage


Le passage en tunnel est souvent la meilleure solution pour diminuer la fragmentation des écosystèmes par les voies de transport.
Ici les déplacements animaux et des graines et propagules de végétaux ne sont pas entravée par la route, comme cela aurait été le cas si elle avait coupé la forêt.

Tunnel


Gotthard, pour faciliter le courrier postal (et/ou le passage rapide d'une armée ?)

Le viaduc de Landwasser


Le viaduc de Landwasser est un viaduc ferroviaire se trouvant en Suisse dans le canton des Grisons. Construit entre 1901 et 1903, sa portée est de 136 mètres et sa hauteur de 65 mètres.

Le viaduc est emprunté par les Chemins de fer rhétiques (RhB). Après avoir quitté Filisur et traversé un tunnel de 216 mètres dont la sortie débouche directement sur la falaise, le train poursuit son chemin sur le viaduc qui enjambe la gorge de la Landwasser au sud de Schmitten.